une prière…
En cette période, où nous devons rester à la maison et donc loin physiquement les uns des autres, nous vous proposons de rester unis symboliquement avec une prière chaque jour.
Proposée par Sophie Herrlé, pasteure à Lembach et Sophie Letsch, pasteure dans les Hauts de Bruche
Seigneur, quand j’aurai faim,
donne-moi quelqu’un à nourrir.
Quand j’aurai soif,
donne-moi quelqu’un à désaltérer.
Quand j’aurai froid,
donne moi quelqu’un à vêtir.
Quand je serai dans la tristesse,
donne-moi quelqu’un à relever.
Quand mon fardeau me pèsera,
charge-moi de celui des autres,
Quand j’aurai besoin de tendresse,
que quelqu’un fasse appel à la mienne.
Que ta volonté soit ma nourriture,
ta grâce ma force et ton amour mon repos.
Que ton Royaume soit mon espérance
Que toute ma vie soit une offrande
tendue vers Toi, ô mon Père. Amen
Auteur inconnu
Dieu de la vie,
nous te prions aujourd’hui
pour tous les malades :
Ceux qui sont hospitalisés,
parfois très loin de chez eux,
seuls et inquiets
Ceux qui attendent confinés
que les symptômes soient passés.
Seigneur, bénis-les.
Seigneur, prends pitié.
une musique…
Lorsque les mauvaises nouvelles ont tendance à pleuvoir, lorsque l’inquiétude grandit, un moment de musique peut aider à se poser pour mieux faire face. Des musiques très différentes les unes des autres sont proposées, jour après jour, accompagnées d’un bref commentaire.
Bonne écoute !
Proposé par le service musique de l’UEPAL
LAMBARENA : Bach to Africa
Albert Schweitzer est un musicien, théologien et philosophe alsacien qui a étudié la médecine pour fonder un hôpital de brousse en 1913 à Lambaréné (Gabon). Grand amateur et connaisseur de la musique de JS. Bach, il n’aura de cesse de relier ses deux « passions » : Bach et Lambaréné. Le CD Lambarena, déjà paru en 1995, rend hommage à Albert Schweitzer, cet inlassable passeur entre les cultures. La pièce proposée à l’écoute mêle un chant traditionnel gabonais à la Partita n°3 pour violon seul de JS. Bach.
« Des pièces de Bach répondent aux rythmes gabonais, les instruments traditionnels africains à l’orgue, à un orchestre baroque et les harmonies de Bach s’entremêlent à celles de chants de différentes ethnies gabonaises […]. Le mélange est curieux, vraiment dépaysant. Il est difficile de trouver des genres plus différents, plus opposés. C’est une forme de musique métis. »
Croiser les cultures, découvrir l’autre
À écouter, à voir : Lambarena
un cantique…
Recueil « Alleluia », 41/14 Pour sa lumière, acclamons Dieu